Le nouvel agenda cinéma de Videodrome 2

Ca y est, le nouvel agenda des séances cinéma est en place !

Les nouveautés vidéoclub du mois de juillet

Et voici nos nouveautés pour le mois de juillet !

Les écrivains du cinéma : la sélection thématique de juin au vidéoclub

« Faire du cinéma, c’est une passion comme se piquer à la morphine. Une fois qu’on y a goûté, il n’y a plus moyen d’y renoncer » disait Blaise Cendrars. Romain Gary assurait quant à lui que « W.C Fields, Chaplin et Groucho Marx ont été ses plus fortes influences littéraires« . Ainsi, de nombreux écrivains se sont enthousiasmés pour le septième art, allant même pour certains jusqu’à écrire des scénarios ou encore passer derrière la caméra.

Séance jeune public Dépendances : Charlot fait une cure :: Mercredi 08 juin à 16h

Lorsqu’il s’est agi d’inclure un film accessible au jeune public dans le cycle « Dépendances », au vu de l’aptitude innée des jeunes pousses à développer des comportements addictifs (doudous bienvenus dans la salle), les débats sont allés bon train. Puis, naturellement, nous en sommes venus à envisager celui qui est à l’origine de la dépendance au cinéma de nombre d’entre nous, Charles Chaplin. Âmes sensibles, ne pas s’abstenir : l’humanité splendide de Chaplin va encore se déployer sur grand écran dans ce joyau burlesque qu’est Charlot fait une cure.

Institut de la mécanique des turbulences #4 :: Vendredi 17 juin à partir de 18h00

« Notre oreille réclame sans cesse de plus vastes sensations acoustiques. La musique piétine en s’efforçant vainement de créer une nouvelle variété de timbres. Il faut rompre à tout prix ce cercle restreint de sons purs et conquérir la variété infinie des sons-bruits. Je ne puis guère réprimer trop longtemps mon désir fou de créer enfin une véritable réalité musicale en distribuant à droite et à gauche de belles gifles sonores, enjambant et culbutant violons et pianos, contrebasses et orgues gémissantes ! Sortons !  »

Institut de la mécanique des turbulences #6 :: Dimanche 19 juin à 20h00

« Notre oreille réclame sans cesse de plus vastes sensations acoustiques. La musique piétine en s’efforçant vainement de créer une nouvelle variété de timbres. Il faut rompre à tout prix ce cercle restreint de sons purs et conquérir la variété infinie des sons-bruits. Je ne puis guère réprimer trop longtemps mon désir fou de créer enfin une véritable réalité musicale en distribuant à droite et à gauche de belles gifles sonores, enjambant et culbutant violons et pianos, contrebasses et orgues gémissantes ! Sortons !  »